vendredi 2 août 2013

"Par qui on commence ?" (2)



- Bien, dit Philippe. Tout le monde est là. Je vous fais visiter l'appartement, avant de passer aux choses sérieuses ?

- Avec plaisir, répond Etienne. 

Léa et moi les suivons tous les deux. Pieds nus, on dirait des petites souris tandis que leurs chaussures claquent sur le sol.  

Il nous montre le grand salon (Philippe : "C'est là qu'on va jouer à la belote !" ; Etienne : "Ah super !"), la cuisine, la petite chambre d'amis dans laquelle un clic-clac est ouvert, et qui donne directement sur le salon, la salle de bain, les toilettes (Philippe : "Etienne, j'imagine que chez toi aussi il est de rigueur que Claire demande l'autorisation pour s'y rendre ?" ; Etienne : "Bien sûr, je l'y accompagne moi-même parfois."), et enfin, la grande chambre de Philippe, qui contient un grand lit double, une armoire, et, un espace dégagé avec deux chaises et un fauteuil. Je ne demande pas si les chaises et le fauteuil sont toujours à cette place d'habitude, je crois que je devine la réponse sans difficulté.  

- Bien, dit Philippe, est-ce que l'une d'entre vous a besoin de passer aux toilettes ? 

- Euh ouais, je dis. 

- Claire, quand tu t'adresses à moi, c'est "Oui Monsieur". Un minimum de respect, s'il-te-plaît, dit-il. 

- Oui Monsieur, dis-je un peu vexée.  

- Bien.  

Etienne me prend par le bras et m'emmène aux toilettes. Ouf, je n'aurais pas aimé que ça soit Philippe, il a l'air super sévère, je suis sûre qu'il aurait été capable de me fesser avec le rouleau de papier toilette.  

- Dépêche-toi, tout le monde attend, me dit Etienne pendant que je défais mon jean et qu'il se tient debout devant moi. 

Comme d'habitude, c'est lui qui me baisse la culotte et me fait asseoir sur les toilettes.  

- Il a l'air super sévère Philippe, je dis en fronçant les sourcils. 

Je m'essuie et me relève. Au moment où je remonte mon jean, Etienne me prend par l'oreille et me fait relever la tête. 

- Ecoute-moi bien, Claire. A partir de maintenant, et jusqu'à ce que je le décide, Philippe a le droit de te fesser, de te gronder et de te faire honte comme je le fais. Alors j'exige autant de respect de ta part pour lui comme pour moi. Est-ce que c'est bien compris ? 

- Euh oui, dis-je en rougissant.  

- Allez, on y va. 

Je me reculotte rapidement et remets mon jean.  

Lorsque nous revenons, Léa est assise sur une des chaises et Philippe attend debout les bras croisés. 

- C'est pas trop tôt ! Claire, va t'asseoir à côté de Léa, s'il-te-plaît.  

Je m'exécute.  

- Etienne, si tu veux bien t'installer dans le fauteuil ... Claire et Léa, j'ai ici vos carnets de punition. Je vais commencer par punir Léa pour certaines raisons qu'elle dira elle-même et ensuite, Claire, tu seras corrigée par Etienne devant nous. Ensuite, nous verrons.  

Nous opinons du chef. Léa se lève et apporte sa chaise à Philippe, qui prend place dessus. Il courbe immédiatement Léa sur ses genoux et lui dit :

- Alors, Léa, pourquoi mérites-tu d'être fessée ? 

- Je mérite d'être fessée parce que j'ai désobéi, dit-elle comme si elle avait appris son texte par coeur. 

- Qu'est-ce que tu as fait ? Explique correctement. 

- J'ai recommencé à fumer alors que tu me l'avais interdit.  

- Et donc ? 

- Alors je mérite d'être fessée pour ça. 

- Bien. Pose tes mains sur le sol et ne les bouge surtout pas. 

Il fesse ensuite Léa par-dessus sa robe pendant quelques minutes. Elle ne dit rien et ne bouge pas. Il soulève ensuite sa robe et nous découvrons une culotte bleue ciel. Les claques font un bruit de claquement sur la peau maintenant, et la culotte finit par rejoindre les pieds de Léa, qui résiste vraiment bien. Ses fesses rosissent au fur et à mesure. C'est fascinant de voir ce spectacle en vrai. Léa commence à s'agiter et à remuer légèrement les jambes. La fessée continue, méthodiquement. Les fesses de Léa rougissent, c'est très beau à voir. J'ai l'impression d'être hors du temps, captivée par ses fesses claquées. Elle ne décolle pas ses mains du sol. Puis la fessée s'arrête d'un coup. Comme la fin d'un rêve. Un retour à la réalité (tiens, c'est mon tour).  

Philippe fait relever Léa et lui demande de se mettre contre le mur, mains sur la tête, et de maintenir sa robe au-dessus des fesses. Il lui interdit de se frotter les fesses mais lui dit qu'elle a le droit de se tourner un peu pour voir ma punition. J'ai une boule dans le ventre quand il prononce cette phrase. Je sens ensuite une main qui m'attrape le bras. 

- A nous deux, maintenant, dit Etienne en m'amenant vers la chaise tandis que Philippe vient s'asseoir dans le fauteuil.