jeudi 15 août 2013

"Etienne et Claire" (2)

Et une fois le repas pris ...

- Bon, à nous. Enlève tes chaussures.

Elle retira ses baskets, les rangea contre le mur et revint face à lui. 

- Viens. 

Il lui pris la main, l'amena jusqu'à la chaise. Il s'assied dessus et la regarda. Il commença a la sermonner.

- Je vais te gronder et tu vas bien m'écouter. Quand je te dis que je veux que les fessées que je te donne te servent à quelque chose, tu vas en avoir la preuve concrète. Je veux que tu fasses attention à toi, à la façon dont tu te nourris, à ton hygiène de vie. Je ne veux pas que tu laisses aller, comme ça, que tu te négliges. Est-ce que c'est bien compris, ça ?

- Ouais, ouais.

- Pardon ?! 

- Oui Etienne.

- Fais très attention, Claire. Je ne suis pas d'humeur à supporter tes insolences. Je t'explique quelque chose que je pense vraiment, je ne joue pas, là, je veux que tu m'écoutes. Parce que quand tu ne fais pas attention, ce sont les autres qui en pâtissent, qui se préoccupent pour toi, qui font en sorte que tu ailles mieux. Alors au lieu de déranger les gens, je te demande d'être un peu adulte et de prendre soin de ta santé. Dis-moi pourquoi tu vas être punie et ce que tu vas recevoir.

- Mais s'il-te-plaît ... 

Ce n'est pas qu'elle ne voulait pas être fessée. Elle ne voulait simplement pas répéter pourquoi elle allait être punie. Elle détestait ça. Devoir le dire à haute voix était pour elle autant honteux, sinon plus, que de se faire baisser la culotte. Il se leva d'un coup, lui attrapa les bras et lui mit une claque. Pas très forte mais très humiliante. 

- Quand je te demande de faire quelque chose, tu le fais, et tu ne râles pas ! Maintenant tu fais ce que je t'ai demandé et ne fais pas ton cinéma, sinon ça va très mal aller, tu peux me croire !

Elle baissa la tête. Elle était honteuse de ce qui venait de se passer.

- Je vais être fessée parce que je ne fais pas assez attention à ma santé.

- Plus fort ! J'ai rien entendu.

- Je vais être fessée ... parce que je ne fais pas assez attention à ma santé, ajouta-t-elle en levant la tête.

Il attrapa ses mains, les lui plaça le long du corps et entreprit de défaire son pantalon. Le fit glisser le long de ses jambes, jusqu'en bas. Il attrapa ensuite l'élastique de sa culotte, une main de chaque côté et commença à faire de même. Elle eut un moment de défense et retint sa culotte. 

- Lâche-la immédiatement ou je te promets que tu vas passer deux heures au coin à pleurer à cause de la raclée que t'auras reçue. 

- Mais d'habitude tu fais pas comme ça ! Tu me déculottes que quand je suis sur tes genoux.

Il se leva, lui pris le menton, et lui dit d'une voix calme, en regardant ailleurs :

- Ah, parce que c'est toi qui décide maintenant, c'est vrai, j'avais oublié ...

Il l'attrapa par le bras, jeta sa culotte sur ses chevilles et la fessa debout en disant, sans interrompre les claques :

- Ca, c'est pour t'apprendre à obéir ! Ca, pour t'apprendre le respect ! Ca, pour te montrer ce qui arrive aux gamines dans ton genre quand elles veulent faire les grandes ! Il faut que je continue ou mademoiselle a compris le message ?!

- J'ai compriiiis, Etienne, dit-elle d'une voix pleurnicharde.

- Alors viens sur mes genoux, dit-il en se rasseyant.

Et la vraie fessée put enfin débuter, donnant le la à toutes les belles corrections qui allaient suivre pendant ce week-end. Leur week-end. 


photo haut : Tears & Laughter
photo bas : La Branlitude des Choses